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6 albums essentiels de john scofield

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Anonim

Cela ne veut pas dire que la première douzaine d'albums solo de Scofield n'était pas à la hauteur. Ses deux disques de 77 - East Meets West et son set live - étaient de bons efforts, de même que ses deux offres de 1981, Out Like A Light et Shinola.

Loud Jazz (Gramavision)

Mais c’est ce disque de 1987, avec son groupe de claviers de longue date Robert Aries, le bassiste Gary Grainger et le batteur Dennis Chambers, qui a véritablement fait rayonner le style de Sco '.

Les faits saillants de ce disque de 11 originaux de Scofield sont le funk urbain thématique de «Dance Me Home», la gigue bizarre de l'une de ses pièces phares, «Dirty Rice» et le gros morceau «Wabash». Ce disque n'a rien de modeste et, même s'il est bruyant par rapport aux normes du centre-ville, il l'est certainement suffisamment.

Destiné à être (note bleue)

Devenu depuis longtemps le favori des fans et des critiques, le premier album de Blue Note en 1990 chez Scofield, Meant to Be, trouve que Sco canalise son post-bopper intérieur, travaillant sans filet (ni joueur de clavier).

Une autre pièce emblématique de Scofield, «Big Fan» oscille fort, tandis que «Keep Me In Mind», avec la contribution de Joe Lovano, de plus en plus puissant, est tout à fait drôle. Marc Johnson et Bill Stewart tiennent le tribunal d'une main ferme sur «Mr. Coleman To You »pendant que« Some Nerve »se précipite dans la rue avec le verve de la Nouvelle-Orléans. Un des meilleurs moments de Lovano en tant que sideman.

Temps sur mes mains (note bleue)

Scofield a toujours été assez prolifique, réalisant au moins un album studio par an depuis la fin des années 70. Certaines années, il réussit à couper le deuxième set, comme ce fut le cas en 90 lorsqu'il suivit Meant to Be avec cet ensemble.

Celui-ci incarne Lovano dans le fauteuil de saxophoniste avec l'une des sections rythmiques les plus formidables du jazz, Charlie Haden et Jack DeJohnette, gérant des fonctions de basse et batterie.

Sur le plan stylistique, il s’agit de Meant To Be, deuxième partie, avec le quatuor de Sco entourant ses wagons d’une fusion de funk et de bop, le tout présenté avec un éclat brillant d’après les années 80. «Stranger To The Light» est un swinger sournois, avec des notes de Coltrane et de Wes Montgomery, avec «Farmacology» et «So Sue Me» non loin derrière. Un des points culminants de l'enregistrement est le bluesy "Time And Tide", qui trouve DeJohnette au mieux.

Main Jive (Note Bleue)

Le cinquième des sept disques Blue Note de Scofield datant des années 90 serait mieux décrit comme un duo avec le saxophoniste avec Eddie Harris, qui a tenu des mains harmoniques avec Sco tout au long du set.

«I'll Take Less» est un bel hommage à l'époque où la fusion et la contribution percussive d'organistes à «Golden Gaze» entraînaient les harmonies intérieures de la chanson avec verve et énergie. "Whip The Mule" est aussi délicat que n'importe quelle fusion de la Nouvelle-Orléans avant ou depuis.

Uberjam (Verve)

Les 21 premières années de travail de Scofield à la 21e journée sont accompagnées de deux disques de fusion définitifs enregistrés avec Adam Deitch et Avi Bortnick sous le pseudonyme d'Uberjam. Ils sont jazzy dans leur approche spontanée et libre d'esprit ET désireux de puiser dans tous les langages musicaux de l'époque. Dans cet exemple, du hip-hop et du rock glitch se mêlent à des mélodies telles que le premier opus «Acidhead» et son compagnon «Ideofunk». En dépit de toutes les influences - et de beaucoup de bruit - du groupe a toujours investi dans la mélodie et dans la préservation du groove.

Uberjam Deux (Emarcy)

La reprise du concept Uberjam par Scofield, publiée sur Emarcy en 2013, lui fait complètement échouer et lui a valu de nouveaux fans parmi ceux qui aiment les groupes de jam tels que String Cheese Incident et Railroad Earth. Le fait qu'il ait couvert le titre de «L'ingrédient principal de l'ingrédient principal» en dit long sur la volonté de Scofield de couvrir toutes les bases, sans jamais quitter sa musique de jazz.

6 albums essentiels de john scofield